mardi 24 février 2015

Le Blog qui a fait un enfant




25 Février 2005 14h54 un nouveau cœur bat la chamade, le plus important de mon existence. Du haut de mes 26 ans je suis me pris une claque en te voyant toi, petit être, à qui je vais devoir rendre des comptes une bonne partie de ma vie. 
Je ne m'étais jamais autant sentis vivant, tant que l'on a pas un son bébé dans les bras, toutes les choses d'avant n'ont aucunes importances, c'est ÇA "l'importance" désormais. 
Mais que vais-je faire avec? Comment s'en occuper, je n'aime déjà pas les chiens, alors un bébé? Tu te rends compte? Ça chiale ça chie ça pisse.... Oui mais ça te regarde avec cet amour que toi seul te rend compte, tu me souris tout le temps, et surtout quand tu prend mon doigt avec ta main pas plus gros qu'un abricot, je deviens béatitude et serein. 
Mais revenons quelques temps en arrière. 

2004: les Landes était une Terre nouvelle, nouveau travail, grande maison (vide, très vide) d'un 30 m2 à 110 m2. D'un 2 pièces à 6 pièces. A tel point que ça résonnaient dans certaines chambres. Mais voilà les pièces vides allaient bientôt être remplis avec des meubles d'héritage. Et dans le carton un tensiomètre, on prend le poux. Tiens il est faible dis donc?!!! Après une écho et une visite chez le médecin on dirait bien qu'un petit Alien pousse dans le ventre. Quelle ne fut pas ma surprise? Il était question que tu arrives un jour ou l’autre, mais pas aussi rapidement. après autant de temps à prendre la pilule, tu n’étais pas censé te pointer avant 6 mois. On est à 3 mois là! Très bien pas de soucis on va gérer. Mais voilà, 2 mois plus tard l'alien ne voulait pas des Landes et s'en est allé dans une mare de sang. un constat: un échec. Mais bon, l’être humain est un super guerrier. Il se relève toujours! Deuxième essai 3 mois plus tard… oh pinaise, voilà que la sang revient, direction urgences, ça se décroche pas, le médecin insiste pour un curetage, tu es plus forte que lui, on lui tient tête C’EST UN NON on rentre et on prend un rendez-vous chez le gyneco. 4 jours plus tard, SOURIRE EUPHORIQUE ET NIAIS C’EST UNE FILLE, enfin pour le moment, tu es en mode construction, mais je sais déjà au fond de moi que tu seras une Charlotte.
et tu as eu déjà SUPER CHAUD AU CUL!!!! 
Quelques semaines plus tard, tu es grosse, un peu trop pour ton âge, prise de sang, examen; résultat sans appel, après nous avoir fait des frayeurs, voila que tu va nous casser les couilles avec ton diabète gestationnel, on va faire avec. fini les petits déjeuners au kiwi, au pamplemousse et au pains au chocolat chocolatine. Place aux céréales spécial K, aux haricots verts et aux steak hachés à point. suivront les longues balades après un verre de vin, un grand repas et un peu de chocolat de temps en temps. 

Janvier: tout se passe bien, tu es une fille (je le savais, je te l'ai déjà dis)  tu seras donc Charlotte (ce qui tombe plutôt bien vu que je n’imaginais pas vraiment avoir un mec) je dois te dire que je suis faible car je ne voulais pas savoir; mais étant le seul, je me suis sacrifié et j’ai vu…que tu n’avais rien entre les jambes. Encore un des plus beau jour de ma vie après toutes ces péripéties. 

Février: c’est cool, mais on a du mal à marcher, tu mets des coups assez souvent, une fois c’est une empreinte de pied qui sort, une autre fois je te fais un "give me five" tellement tu me montres ta main. 

24 Février: rendez-vous à l’hôpital pour une visite afin de savoir comment ça va se passer pour t’accueillir. Valérie, sage femme de son état, a très envie de te voir, donc elle essaie de te caresser les cheveux et perse une petite poche, raté, mais si rien ne passe le lendemain, il faudra quand même revenir. Nous rentrons. C’est à ce moment que nous avons commencer à discuter longtemps, très longtemps, très très longtemps, tu étais avare en parole, (tu t’es bien rattrapé), et je t’ai « ordonné » de me laisser dormir au moins jusqu’à 6h00 demain matin. 

25 Février: 6.30 je me réveille seul dans le lit, tu étais partis te doucher, tu avais visiblement très envie de sortir, nous sommes donc repartis à l’hôpital. Tu poussais pour sortir, au début tu m’appelais toutes les 20 minutes, ensuite toutes les 10 minutes et c’est devenu de plus en plus insistant, pendant ce long trajet tu m’appelais presque toutes les minutes. 
ENFIN nous voilà arrivé, nous sommes à la maternité et histoire de continuer dans l’esprit de contrariété tu boudais car nous avons mis trop de temps pour nous y rendre. Mais tu te venges, tu tapes, bouges, remues, mais refuses de sortir, ça tombe bien, la salle d’accouchement est prise. 
                 14.00 Tu nous amènes enfin dans la salle d’accouchement. tu pousses, tu veux sortir. Tu es coquine, tu nous montres juste une mèche de cheveux pendant environ 5 minutes qui me parait 1/2 heure. Une pause et enfin je vois pour la première fois ta tête, tes épaules, ton ventre, tes fesses et pour finir tes jambes, mais sitôt sortis, tu n’as pas l’air d’aimer me voir, tu pousses un hurlement...un cri...des pleurs, on te bouscule, je t’ampute d’un cordon qui t’empêchait de partir, on te nettoie, comme je n’ai pas encore le droit de mettre un serre-tête, je te dépose un bonnet, ensuite tu te poses, tu es câlinée, tu es au chaud, sur un ventre fatigué, tu dois le reconnaitre car tu ne pleures plus, tu te rappelles avoir été à l’intérieur; ensuite je te prends dans mes bras et immédiatement (non pas que je ne l’étais pas auparavant), je tombe fou d'amour pour toi, tu seras ma nouvelle raison de vivre. 

Je m’aperçois que je t’ai toujours voulu. J’en prends conscience. J’appelle tes grand-mères, ton grand-père, tes tontons et tatas, ta marraine que tu aimes déjà car en plus être la meilleure amie de ton papa, tu as décidé de suivre ses pas et naître le même jour qu’elle. 

Quand je repense à ce jour de 25 FEVRIER je me dis que tu en a fais du chemin, tu a pris quelques centimètres (beaucoup à vrai dire), et quelques kilos (comme moi). Tu as forgé ton caractère en fonction de ton jeune vécu, mais l’avenir t’appartiens, 


10 ans n’est que le commencement.


TOUT SIMPLEMENT UN
JOYEUX ANNIVERSAIRE 

JE T'AIME

Et je vais avoir cette chanson dans la tête toute la journée

samedi 21 février 2015

Le Blog qui a dévoré "Sur écoute"

Faute avoué à moitié pardonné, plus de 10 ans après ses débuts, je viens de terminer l'intégralité de la série "Sur écoute" plus connu chez nous comme "The Wire", car oui, nombreux sont ceux qui préfèrent conserver le nom original de cette merveilleuse formidable série relayée au rang de chef d'oeuvre, et c'est mérité. Mais pourquoi l'a qualifier d'un titre aussi prestigieux que peut l'être "The Shield" "Sons Of Anarchy" où même dans mon top 10 des séries qui ne sera jamais détrôné par le juif et le blondinet pro-bio slalomants dans les rues de Los Angeles à bord de leur bolide couleur tomate, la bien nommée "Starsky & Hutch"?
Tout d'abord, "Sur écoute", série policière de son état, n'a pas de héros, ou plutôt si, une, elle se nomme Baltimore. Ville de la côte Est des States d'Amérique, à quelques kilomètres au nord de Washington. Après une expansion début 1960, elle n'a cessé de décroitre depuis et est en pleine tourmente surtout par certains quartiers de plus en plus sujet à une délinquance grandissante.

L'approche est parfaite pour une série culte en devenir. Après je ne vais pas re-raconter la base, les débuts, les origines de la création, d'autres le font et l'ont fait mieux que je ne pourrai le faire.

Moi je vais plutôt raconter pourquoi j'ai accroché...mais....pas tout de suite, car tout d'abord son format me rebutait depuis le début, le 4/3, mon Dieu, ce n'est pas facile une image carré, cela fait pourtant à peine 10 ans que l'on en ai sortis, et j'ai passé toute ma jeunesse à regarder des séries sous cette forme...
Alors, "Sur Ecoute" ou plutôt "The Wire" commence par l'histoire d'un groupe de policiers au placard; originaires de diverses horizons et culture se regroupant pour écouter légalement grâce à la nouvelle technologie afin d'avoir des preuves concrètes sur des truands locaux, la mise en place des micros longues portés, des mises sur écoute de cabines téléphoniques des coins de rues et par moment des téléphones cellulaires (nous sommes en 2002).

Il y a donc le lieutenant Cedric Daniels, droit comme la justice mais avec un putain de balai dans le cul;
L'irlandais alcoolique Jimmy McNulty, qui, même s'il n'est pas (très)bon flic, a le mérite d'être comme un chien sur un os, ne lâche jamais;
Le patriarche Lester Freamon mit aux archives pour avoir ouvert sa gueule 20 ans auparavant;
La caution féminine qui en a dans la braguette en la personne de Kima Creggs;
Les Dupond Ellis Carver et Dupont Herc Hauk qui atterrissent là par hasard mais qui vont se révéler de bons enquêteurs, enfin surtout un;
Et le nouveau venu Prez, gendre du big boss lui se révélera chaotique d'un sens mais impressionnant dans un autre domaine.
Si l'équipe de bras cassés voit le jour, c'est pour mettre sous les verrous les dealers du clan Barcksdale, ayant comme point de chute tout un quartier de la ville: un "negro" dont la maréchaussée ne connait ni la couleur de ses cheveux, ni même celle des yeux. Il faut dire qu'Avon Barcksdale a un second très bon, le bien nommé Stringer Bell, 2.50m, 150kgs de muscles avec un cerveau sachant s'en servir, l'acteur Idris Elba se démarque de suite des autres truands avec une présence importante dès qu'il rentre dans la lucarne.
La première saison se focalise principalement sur un face à face, mais tourne autour bons nombres de parasites qui continueront toute la série: le camé Bubbles répertorié indic, qui claque toute sa thune dans la drogue des dealers qu'il dénonce à longueur d'épisodes, toute une panoplie de chefs de Police, colonels, lieutenants, adjoints, Maire, capitaines de brigade se tirant dans les pattes et se refilant les morts afin de ne pas voir leur stats chutées, des cousins, cousines, frères er soeurs des dealers faisants tourner le commerce comme ils peuvent, allant au trou, en sortant.
Et il y Omar, un rival d'Albator par la balafre qu'il porte sur le visage, n'aimant ni la flicaille, ni les dealers, ne tuant pas (ou très peu) mais braquant systématiquement les kairas pour les faire chier. (on connaitra d'avantage ses motivations lors d'un procès fin de saison 2).
Il faut se replacer dans les années de la série (2002-2008), les bipeurs, les cabines téléphoniques, les autorisations des juges pour avoir droit à une écoute justifiées sont accrocheurs, le tout dans un réalisme proche du documentaire.
Passé les 2 premiers épisodes afin de se mette dans le bain, car "Sur écoute" n'est pas un TGV, elle pose les bases, prend son temps. Et ça c'est bon!
Car au bout des 13 épisodes que forme la première saison, rien n'est bouclé, il y a bien 2, 3 gars, dont le neveu du boss, personnage quasi central du clan qui se retrouve comme au tout début du premier épisode, devant un juge, mais rien de plus, enfin si..., mais sans en dévoiler trop, c'est pas facile d'en écrire un peu.
Les autres saisons sont aussi passionnantes les une que les autres, les personnages évoluent, la série aussi, les écoutes se stoppent, reprennent, des dealers meurent...en masse... des flics meurent aussi. On se laisse prendre au jeu, on est derrière la télé pour mater un documentaire, à chaque apparition du Major Brawls (le sous-chef du chef de la police) on se demande quel coup de pute il va bien pouvoir faire. On aime suivre les gosses alternants l'école et la rue, on prend part de la décision de Colvin de créer Amsterdam. (pour ou contre), les motivations de Carcetti à devenir Maire, les prises en sandwichs de Sobotka, les délires de la presse....
Bref, cette série est captivante de A à Z, du début à la fin. Personne n'est épargné, aucun ne fait jamais d'erreurs. On trouve de l'humanité dans les dealers et aucune dans certains flics, les personnages sont magnifiquement écrits, superbement interprétés.
Anecdotes intéressantes, certains personnages se croiseront à nouveau dans d'autres séries en ayant le même relationnel, à croire que ces scènes fonctionnent comme ça:
Chad Coleman et Seth Gilliam ne s'adresseront la parole que 10 minutes cumulée sur 10 ans avec "The Wire" et 10 ans plus tard dans "The Walking Dead", malgré l'importance respective de leur rôle. On peut noter aussi que John Doman et Dominic West n'ont jamais pu se blairer, que cela soit d'inspecteur à Major dans "Sur Ecoute" ou de gendre à beau-père dans "The Affair".
J'ai, au commencement, mis juste un oeil et une oreille dans cette série novatrice, et fini par tout avaler en quelques semaines (je remercie d'ailleurs OCS qui l'a met à dispo en intégralité - 5 saisons, 60 épisodes - jusqu'au 13 Mars).
Voilà pourquoi j'ai dévoré cette grande série, mais je vous laisse juger par vos yeux.

En tous cas, maintenant vous savez.



jeudi 12 février 2015

Le Blog au Problème Auvergnat

         S'il y a bien un coin qui ne me porte pas dans son coeur, c'est bien L'Auvergne (la Bourboule, Clermont Ferrand)
         En plus d'avoir la ville la plus froide de France avec Aurillac, La Bourboule m'a perdu une paire de chaussures milieu des années 80 pendant un stage de formation sportive durant une semaine de vacances.
         Maintenant vous me remettez 10 ans en arrière, la première fois que je traverse la France par le Massif Central il faisait grand soleil sauf au moment où j'ai vu sur le panneau de l'autoroute A89 "Le Puy de Dôme" j'ai eu l'impression d'être Kad Merad dans Bienvenue chez les Ch'tis
          Revenons aux aventures qui font que je vais faire un détour par le Limousin pour rejoindre la mère patrie dorénavant (et cela malgré les magnifiques paysages de la chaines des Puys).
          Nous sommes donc le 26 décembre de l'an 2014, nous profitons d'avoir un break nouvellement acquis et ça tombe bien les filles ont bourré le coffre au taquet avec pulls en laine, cadeaux de fêtes, et une immense quantité de jouets. Après avoir pris une pause sur l'Aire de Corrèze, nous avons repris la route et comme cité précédemment, arrivés en Auvergne, la neige se déversa sur nous tel un tsunami sur Sumatra 10 ans plus tôt. Le pire arriva quelques minutes plus tard quand un voyant sur le tableau de bord que je ne connaissais pas est venu agresser mes yeux et malgré le fait que j'avais la pédale d'accélérateur à fond, ma voiture n'avançait pas d'avantage, mieux, elle ralentissait sans mon accord. Nous avons tout de même réussi à nous hisser jusqu'à une borne (la 337).
          Après quelques temps d'attente où je voyais mes filles (petites ET grande) dépérirent à vitesse grand V dans une voiture qui se refroidissait, le dépanneur arriva, dépanna, et nous amena dans son local dépot situé à quelques kilomètres de l'autoroute. Ont suivi un taxi qui nous déposa dans un Hôtel 3* situé au centre de Clermont Ferrand, (3/4 h en pleine nuit avec une taxi nous avouant qu'elle voyait moyennement bien la nuit au milieu d'une route déserte envahis de neige) - (ah oui parce que la panne est survenu vers 22.00) Le lendemain, nous avions un véhicule de location (que je suis allé chercher à 20 km de là) pour nous rendre sur Dijon afin de profité des vacances familiales.
           Le mardi suivant (soit 3 jours après la panne) j'ai appelé le garage pour connaitre la panne, la charmante dame m'a tout simplement dit que personne n'est présent entre les fêtes, alors je devrai la rappeler la semaine suivante. Ca ne m'arrangeait pas car je ne disposais de la voiture de location que pour continuer mon voyage. Comment allions-nous redescendre? Avec quelle voiture nous rendrons-nous au travail dès le Lundi, C'est là que c'est très bien d'avoir encore ses parents (et jeune en plus).
         Le Patriache nous a ramené et ma jolie-maman nous prètera sa voiture le temps des réparations.
         Mais voilà, la réparation tarda, et mes disponibilités pour aller la chercher ne sont pas super simple.  De plus, nous avons du courir après les agences de location car nous avions été prélevé de 40€ pour 10 L de carburant manquant - totalement erronés) L'agence de Clermont m'a remboursé après moult coups de téléphone et envois de mails des justificatifs d'achat de gasoil).
         Quand enfin, j'ai pu avoir un créneau, je me suis présenté à l'agence de location de Mont de Marsan pour m'emmener à Clermont Ferrand, on ne me proposa qu'une camionnette utilitaire car c'est le seul de disponible faisant partis du réseau France (véhicule dont nous ne sommes pas obligé de rendre à l'agence de départ). Donc me voilà partis en direction de la préfecture du Puy de Dôme. A destination, j'ai rendu la camionnette AVEC le plein, et appelé un taxi qui est venu me chercher à Mont de Marsan...oui oui, l'assistance c'est quelques peu emmêler les pinceaux entre mon départ et mon arrivée, 45 minutes plus tard mon taxi arrive et m'emmène enfin à cette très chère automobile que je n'avais pas revu depuis l'année dernière....sous 2 mètres de neige!!! Et oui, il neige en Auvergne, il neige BEAUCOUP. Le garagiste m'a laissé entendre que si je m'étais pointé la semaine dernière je 'aurais pas pu acceder au garage tellement elle était présente.
        Je vous rassure, à l'heure qu'il est, ma voiture est devant chez moi, en état de marche. Elle m'a couté en réparation un demi smic, quelques frayeurs, beaucoup de gasoil, quelques heures de téléphone, mais m'a fait découvrir des endroits encore plus paumé que par chez moi et encore des jolis coins de neige encore vierge.
       Alors je voudrais encore une fois remercier l'assistance, qui a tout pris en charge afin que nous passions le moins de temps possible dehors, d'avoir réussis à faire passer un moment de stress en moment de détente car les filles avaient leur propre chambre et petit dèj à volonté. Et je dois bien dire que j'ai du mettre 4 ans de cotisation d'assurance en 3 mois de panne. (entre le dépanneur, les locations de voitures, l'hôtel et les taxis..)
   

                            MAIS JE CROIS QUE L'AUVERGNE ME PORTE LA POISSE

dimanche 8 février 2015

Le Blog dont le deuxième billet sera celui de la vérité

Je dois vous dire qu'il m'est déjà arrivé ce genre de problème avec un titre mais nous étions dans les années 90 et les flux RSS s'appelaient "news paper" plus communément et en français "journal".
Avec des potes (devenus amis par la suite) au lycée il nous fallait financer un projet pour partir en voyage au Pays de Galles une semaine alors pensez donc..... Donc nous avions eu l'idée de produire "ze journal" et comme vous pouvez le voir sur la photo on avait déjà sérieusement du mal avec le nom.

Le Blog qui commence ?

Bon!! par où je commence?
Déjà, je ne sais pas du tout pourquoi j'ai crée un blog.
Ca me travaillais depuis un moment mais entre mon manque d'inspiration et ma non-connaissance de l'orthographe, je me suis dis que ce n'était pas pour moi. mais voilà. il est là:
-Coup de coeur
-Musique
-Vidéos
-Podcasts
-Vie de tous les jours
-Films (à la télé, car je n'ai franchement pas le temps d'aller au ciné)


Voilà, il est chaud il est nouveau, il est LA.

Le blog dont je n'ai pas trouvé de nom et quand j'en ai trouvé un, il n'y avait plus de place dans l'intitulé du titre.

PUTAIN j'aurais du l'appeler "le blog de monsieurhobby"